Les sept merveilles

Définition

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 20 juillet 2023
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Disponible dans ces autres langues: anglais, hongrois, indonésien, persan, portugais, espagnol, Turc
The Pyramids of Giza Panorama (by dungodung, CC BY-SA)
Panorama des pyramides de Gizeh
dungodung (CC BY-SA)

Les sept merveilles de l'Antiquité étaient sept structures impressionnantes énumérées par des écrivains anciens tels que Philon de Byzance, Antipater de Sidon, Diodore de Sicile, Hérodote, Strabon et Callimaque de Cyrène, pour n'en citer que quelques-uns. L'historien médiéval Bède et d'autres auteurs médiévaux dressèrent également leurs propres listes. La liste standard des sept merveilles antiques comprend :

Les sept merveilles furent initialement définies comme des themata pour les visiteurs helléniques (en grec, "choses à voir", ce qui, dans le français courant d'aujourd'hui, se traduirait par "Incontournables") par Philon de Byzance (vers le IIIe siècle av. J.-C.) en 225 avant J.-C., dans son ouvrage intitulé "De septimem spetaculis". Philon et Antipater de Sidon (IIe siècle av. J.-C.) incluent les murs de Babylone dans la liste au lieu du phare d'Alexandrie, tandis que Diodore de Sicile (Ier siècle av. J.-C.) inclut les sept merveilles susmentionnées dans sa Bibliotheca historica ("Bibliothèque historique"). Les sept merveilles ont toutes existé en même temps pendant moins de 60 ans et, sur les sept énumérées ci-dessus, seule la Grande Pyramide existe encore aujourd'hui.

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MÊME LES AUTEURS ANCIENS N'ÉTAIENT PAS D'ACCORD SUR LES MERVEILLES QUI DEVAIENT FIGURER SUR UNE LISTE.

Il n'existe pas de liste standard, reconnue et "authentique" des sept merveilles du monde antique. La liste de Philon est considérée comme basée sur des sources antérieures et peut ou non avoir été compilée à partir de sa propre expérience. Il était ingénieur à la bibliothèque d'Alexandrie, où il rédigea son ouvrage De Septimem Spectaculis, qui fut si populaire qu'il (ou une copie) fut apporté à Byzance, copié et ces copies envoyées à d'autres centres de recherche intellectuelle urbains. C'est ainsi que la liste survécut jusqu'à l'époque de Bède (c. 673-735), époque à laquelle toutes les merveilles de la liste avaient disparu, à l'exception de la Grande Pyramide. En ce qui concerne l'origine des sept merveilles reconnues, les chercheurs John et Elizabeth Romer écrivent :

Comme beaucoup d'autres images et idées populaires, l'origine précise de cette liste appelée "les sept merveilles du monde" est aujourd'hui perdue. Les références aux sept merveilles abondent dans les écrits classiques, mais la plupart de ces textes anciens sont ambigus quant à leur auteur, contestés quant à leur date, et ne font que souligner l'impression que les sept merveilles du monde étaient aussi bien connues et, peut-être, aussi peu récitées à l'époque qu'elles le sont aujourd'hui. Des preuves écrites solidement datées montrent que la première version moderne complète de la liste des sept merveilles est apparue il y a moins de quatre siècles, en Italie, en 1608, et même après cette date, les sept éléments constitutifs de la liste n'ont pas été fermement fixés avant l'arrivée de l'imprimerie de masse et de l'éducation populaire au cours du siècle dernier. (ix-x)

La liste de Bède ne suit pas la norme, mais en inclut d'autres, comme le Capitole de Rome et le théâtre d'Héraclée. Même les auteurs de l'Antiquité n'étaient pas d'accord sur les merveilles qui devaient figurer sur une liste, mais il semble qu'aucun d'entre eux n'aurait nié la magnificence des sept sites reconnus aujourd'hui, qui avaient tous été érigés sur des sites du pourtour méditerranéen entre 2560 et 280 avant notre ère.

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La grande pyramide de Gizeh

La grande pyramide de Gizeh fut construite entre 2584 et 2561 av. J.-C. pour le pharaon Égyptien Pharaon Khoufou (connu en Grec sous le nom de 'Khéops') et fut la plus haute construction au monde pour près de 4,000 ans. On pense qu'elle fut achevée par son successeur Khéphren vers 2560 avant notre ère, à une hauteur de 146 mètres (479 pieds) et une base de 230 mètres (754 pieds), à l'aide de plus de deux millions de blocs de pierre. Les excavations de l'intérieur de la pyramide ne commencèrent à proprement parler qu'à la fin du 18e et au début du 19e siècle et par conséquent la complexité de l'intérieur qui a tant intrigué les archéologues était inconnue des auteurs de l'antiquité. C'était la structure en soi, avec sa parfaite symétrie et hauteur imposante, qui impressionnait les visiteurs des époques reculées. À l'époque où Diodore écrivait, la pyramide était peut-être encore recouverte, du moins en partie, du parement de calcaire blanc qui la faisait briller à des kilomètres à la ronde.

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Great Sphinx & Great Pyramid of Giza (Artist's Impression)
Le Grand Sphinx et la grande Pyramide de Gizeh (impression d'artiste)
Mohawk Games (Copyright)

Les jardins suspendus de Babylone

Les jardins suspendus de Babylone, s'ils ont bel et bien existé tels qu'ils furent décrits, auraient été créés par Nabuchodonosor II entre 605-562 av. J.-C., comme cadeau pour sa femme. Ils sont décrits par l'écrivain Diodore de Sicile comme étant des plans irrigués couverts de flore et faune exotiques atteignant une hauteur de plus de 23 m (75 pieds) grâce à une série de terrasses en escalier. Diodore raconta que, comme les montagnes et les fleurs de la terre natale d'Amytis de Médie, femme de Nabuchodonosor, lui manquaient terriblement, le roi ordonna qu'une montagne soit érigée pour elle à Babylone.

Hanging Gardens (Artist's Impression)
Jardins suspendus (impression d'artiste)
Mohawk Games (Copyright)

La polémique autour du fait que les jardins aient existé ou pas vient du fait qu'ils ne figurent nulle part dans l'histoire de Babylone et qu'Hérodote (c. 484-425/413), 'le père de l'histoire' n'en fait aucune mention dans ses descriptions de Babylone. Hérodote omet toutefois de mentionner de nombreux autres faits, personnages et lieux anciens, et l'on peut se demander s'il avait réellement visité Babylone. Diodore, Philon et l'historien Strabon affirment tous que les jardins existaient, mais il se peut qu'ils aient confondu Babylone avec Ninive, qui était célèbre pour ses jardins et ses parcs. Si les jardins suspendus ont bien existé, ils auraient été détruits par un tremblement de terre quelque temps après le 1er siècle de notre ère.

Statue de Zeus à Olympie

La statue de Zeus à Olympe fut réalisée par le célèbre sculpteur grec Phidias (reconnu comme le plus grand sculpteur du monde antique au 5e siècle av. J.-C., il travailla également au Parthénon et à la statue d’Athéna qui se trouvait autrefois à l'intérieur du temple). La statue, représentant le dieu Zeus assis sur son trône, sa peau sculptée en ivoire et les draperies couvrant sont corps en or martelé et mesurant 12 m de hauteur (40 pieds), avait été conçue pour susciter l’émerveillement chez les fidèles qui venaient au temple de Zeus à Olympie. L'historien et voyageur Pausanias (110-180 de notre ère) décrit la statue, qui était régulièrement appelée "le dieu" :

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Le dieu est assis sur un trône d'or et d'ivoire ; il a sur la tête une couronne qui imite le branchage de l'olivier; il porte sur sa main droite une Nikê aussi d'or et d'ivoire, qui tient une bandelette et a une couronne sur la tête ; Zeus tient de l'autre main un sceptre travaillé avec goût, et émaillé de toutes sortes de métaux, l'oiseau qui repose sur ce sceptre est un aigle ; la chaussure du dieu est en or, ainsi que son vêtement, sur lequel on voit toutes sortes de figures et des fleurs de lys. [2] Le trône est tout incrusté d'or, de pierres précieuses, d'ébène et d'ivoire...

(Description de la Grèce, Livre 5, I.XI.1-2 trad. abbé Gedoyn, Remacle)

La statue du Zeus de l'Olympe est régulièrement citée comme étant à couper le souffle. Pourtant, tout le monde ne fut pas émerveillé par cette œuvre grandiose. Le géographe et historien Strabon (64 av. J.-C. à 24 av. J.-C.) commente:

La plus grande de ces [statues] était l'image de Zeus faite par Phidias, fils de Charmide, un Athénien, en ivoire et si grande que - bien que le temple était également extrêmement grand - l'artisan semble avoir manqué les proportions appropriées, le plaçant assis mais touchant presque le plafond avec sa tête, donnant ainsi l'impression que, s'il se levait droit, il défoncerait le toit du temple.

(Géographie, 8.3.30)

Le temple d'Olympie tomba en ruine après l'avènement du christianisme et l'interdiction des Jeux olympiques, considérés comme des rites païens. La statue fut emportée à Constantinople où elle fut détruite, au cours du 5e ou du 6e siècle, par un incendie ou un tremblement de terre.

Statue of Zeus, Olympia
Statue de Zeus, Olympie
Quatremère de Quincy (Public Domain)

Le temple d’Artémis, Éphèse

Il fallut plus de 120 ans pour bâtir le temple d’Artémis à Éphèse, colonie grecque en Asie Mineure, et une seule nuit pour le détruire. Complété en 550 av. J.-C., le temple, qui mesurait 129 m de long (environ 425 pieds) et presque 69 m de large (225 pieds), était supporté par 127 colonnes de 18 m de hauteur environ (60 pieds). Commandité par le riche Roi Crésus de Lydie, qui ne regardait jamais à la dépense dans tout ce qu’il faisait (selon Hérodote entre autres), le temple était tellement magnifique que chaque écrit le regardant était empreint d’émerveillement et tous s’accordaient pour le définir une des plus incroyables structures jamais réalisées par l’homme.

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Le 21 juillet 356 av. J.-C., un homme du nom d’Hérostrate y mit le feu afin, selon ses dires, de passer à la postérité pour avoir été celui qui précipita la destruction d’une chose aussi belle. Les Éphésiens décrétèrent alors que personne ne devait se souvenir de son nom ni même le mentionner par écrit, mais Strabon en pris note, en anecdote, dans l’histoire du temple. La nuit même où le temple prit feu, naquit Alexandre le Grand et bien plus tard, il offrit de reconstruire le temple en ruines, mais les Éphésiens refusèrent sa générosité. Il fut reconstruit après la mort d’Alexandre mais fut de nouveau détruit durant l’invasion des Goths. Remis de nouveau à neuf, il fut irrémédiablement rasé au sol par une horde de Chrétiens menés par Saint Jean Chrysostome en 401 de notre ère.

Model of the Temple of Artemis
Modèle de temple d'Artémis
Faigl.ladislav (GNU FDL)

Le mausolée d’Halicarnasse

Le mausolée d’Halicarnasse était la tombe du Satrape Perse Mausole, construite c. 351 av. J.-C. Mausole choisit Halicarnasse (Bodrum en Turquie) pour capitale, et avec sa femme Artémise fit tout en son pouvoir pour créer une ville dont la beauté serait inégalée dans le monde entier. Mausole mourut en 353 av. J.-C. et Artémise désira créer une sépulture digne du grand roi qu’il était. Artémise mourut deux ans après Mausole et ses cendres furent entérrées avec celles de son mari dans le mausolée. Pline l’Ancien remarque que les ouvriers continuèrent à travailler au monument après sa mort, non seulement en hommage à leur bienfaitrice mais aussi sachant fort bien que cet œuvre leur apporterait une notoriété pérenne.

La tombe mesurait 41 m de haut (135 pieds) et était ornée de magnifiques sculptures. Elle fut détruite lors d’une série de tremblements de terre et resta en ruines pendant des centaines d’années jusqu’en 1494 EC quand elle fut complètement démantelée par les Chevaliers de Saint Jean de Malte et réutilisée pour la construction de leur forteresse à Bodrum (où les anciennes pierres sont toujours visibles à ce jour). C’est de la tombe du Mausole que dérive le mot français ‘mausolée’.

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Mausoleum at Halicarnassus (Artist's Impression)
Mausolée d'Halicarnasse (impression d'artiste)
Mohawk Games (Copyright)

Le colosse de Rhodes

Le colosse de Rhodes était une statue du dieu Hélios (Dieu protecteur de l’île de Rhodes) construite entre 292 et 280 av. J.-C. Elle culminait à plus de 33 m de hauteur ( environ 110 pieds) surplombant le port de Rhodes et, contrairement à toutes les représentations fantaisistes, elle se tenait droite avec les jambes serrées sur un socle (tout comme la Statue de la Liberté dans le port de New York aux États-Unis qui a été conçue sur le modèle du colosse) et n’enjambait pas l’entrée du port.

La statue fut commandée après la défaite de l’armée d’invasion de Démétrios en 304 av. J.-C. Démétrios laissa derrière lui beaucoup d’équipement et d’armes qui furent vendus par les habitants de l’île pour la somme de 300 talents d’or (approximativement 360 million de dollars américains), somme qu’ils utilisèrent pour construire le colosse. La statue ne survécut que 56 ans avant d’être détruite par un tremblement de terre en 226 av. J.-C. Elle gît dans toute sa splendeur pendant plus de 800 ans, selon Strabon, et était encore considérée une attraction touristique. Pline L’Ancien prétend que les doigts du colosse étaient plus grands que la plupart des statues de l’époque. Selon les dires de l’historien Théophane, les décombres de bronze furent finalement vendues à ‘un marchand juif d’Édesse’ aux alentours de 654, qui les emporta sur 900 chameaux afin qu’elles soient fondues.

Ancient Rhodes by Frantisek Kupka
Rhodes antique, par Frantisek Kupka
Tony Hisgett (CC BY-NC-SA)

Le phare d’Alexandrie

Le phare d’Alexandrie, construit sur l’île de Pharos, se dressait à près de 134 m de hauteur (440 pieds) et avait été commandité par Ptolémée Ier Sôter. Sa construction fut complétée aux alentours de 280 av. J.-C sous le règne de Ptolémée II Philadelphe. Le phare était la troisième plus haute structure au monde jamais construite (après les pyramides), et sa lumière (un miroir qui reflétait les rayons de soleil le jour et un feu la nuit) était visible à plus de 35 miles (environ 50 km) en mer. La structure s’élevait à partir d’une base carrée en passant par une section octogonale au milieu pour finir tout en haut par une tour circulaire et ceux qui purent l’admirer dans toute sa gloire déclarèrent que les mots leur manquaient pour décrire toute sa splendeur. Le phare fut très endommagé lors d’un tremblement de terre en 956, de nouveau en 1303 et 1323 et, en l’an 1480, il avait complètement disparu. Le fort égyptien de Qaitbay se dresse aujourd’hui sur le site même du phare et fut construit avec des pierres provenant de ses ruines.

Lighthouse of Alexandria [Artist's Impression]
Phare d'Alexandrie (impression d'artiste)
Ubisoft Entertainment SA (Copyright, fair use)

Conclusion

Les sept merveilles du monde antique n’étaient, en aucun cas, une liste exhaustive convenue des structures les plus impressionnantes de l’époque. La liste était plutôt semblable à une brochure touristique actuelle informant les voyageurs sur les choses à voir lors de leur voyage. Les chefs-d'œuvre énumérés ci-dessus sont les merveilles antiques traditionnellement acceptées, telles qu'elles furent décrites pour la première fois par Diodore de Sicile, mais Philon de Byzance et Antipater de Sidon omirent tous deux le Phare d'Alexandrie, et de nombreux écrivains ne s'accordaient pas sur ce qui constituait une "merveille" et ce qui n'était que d'un intérêt passager. Hérodote, par exemple, cite le labyrinthe égyptien de Hawara comme étant bien plus impressionnant que les pyramides de Gizeh :

J'ai vu ce bâtiment, et l'ai trouvé au-dessus de toute expression. Tous les ouvrages, tous les édifices des Grecs ne peuvent lui être comparés ni du côté du travail ni du côté de la dépense ; ils lui sont de beaucoup inférieurs. Les temples d'Éphèse et de Samos méritent sans doute d'être admirés ; mais les pyramides sont au-dessus de tout ce qu'on peut en dire, et chacune en particulier peut entrer en parallèle avec plusieurs des plus grands édifices de la Grèce. Le labyrinthe l'emporte même sur les pyramides.

(Histoire, Livre II, 148, trad. Larcher, Remacle)

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Reconstructions of the Seven Wonders of the Ancient World

This collection features reconstructions of the Seven Wonders of the Ancient World; from the Hanging Gardens of Babylon to the Colossus of Rhodes. Out...

Tous n’étaient pas d’accord non plus sur la plus belle de toutes les merveilles, comme l’atteste ce passage d’Antipater de Sidon, louant le temple d’Artémis:

J’ai contemplé les murs de l’imprenable Babylone sur lesquels courent les chars, et le Zeus sur les rives de l’Alphée, J’ai vu les jardins suspendus, et le Colosse d’Hélios, les imposantes montagnes artificielles que sont les hautes pyramides et le gigantesque tombeau du Mausole; mais quand je vis la demeure sacrée d’Artémis, qui s’élève jusqu’aux nues, les autres furent rejetés dans l’ombre, car mise à part l’Olympe, le soleil n’a jamais rien contemplé de tel.

(Anthologie grecque, IX, 58)

Comme nous l'avons vu, Antipater remplaça également le phare par les murs de Babylone, et Callimaque de Cyrène (de 310 à 240 av. J.-C.), entre autres, inscrivit la porte d'Ishtar de Babylone sur la liste des sept merveilles. La liste de Diodore de Sicile est toutefois aujourd'hui acceptée comme la définition officielle des sept merveilles du monde antique. Bien que les écrivains aient choisi des sites différents pour les célébrer en tant que "merveilles", toutes les listes et tous les commentaires s'accordent à dire qu'il était une fois des structures dignes de l'œuvre des dieux, que les hommes avaient érigées et qui, une fois vues, ne pouvaient jamais être oubliées.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2023, juillet 20). Les sept merveilles [The Seven Wonders]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-530/les-sept-merveilles/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Les sept merveilles." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le juillet 20, 2023. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-530/les-sept-merveilles/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Les sept merveilles." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 20 juil. 2023. Web. 19 avril 2024.

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