Archélaos (philosophe)

Définition

Joshua J. Mark
de , traduit par Camille Pické
publié le 13 avril 2022
Disponible dans ces autres langues: anglais, espagnol
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Archelaus (by Girolamo Olgiati, Public Domain)
Archélaos
Girolamo Olgiati (Public Domain)

Archélaos d’Athènes (c. Ve siècle av. J.-C.) était un philosophe présocratique de la Grèce antique pour qui la cause première de l’existence était l’opposition du chaud et du froid, qui causa la séparation de l’essence universelle pour produire une pluralité d’êtres vivants. On le considère comme le dernier philosophe présocratique, car il aurait enseigné à Socrate.

Le terme moderne « présocratique » fait référence aux penseurs grecs qui ont vécu et écrit avant Socrate (470/469-399 av. J.-C.), le premier étant Thalès de Milet (c. 585 av. J.-C.) et le dernier Archélaos. Le fait qu’Archélaos ait enseigné à Socrate n’est pas certain parce qu’il n’est jamais mentionné dans les travaux de Platon (428/427-348/347 av. J.-C.) ou de Xénophon (430- c. 354 av. J.-C.), les deux sources principales sur Socrate, ni dans ceux d’Aristote (384-322 av. J.-C.), qui a écrit un récapitulatif des présocratiques et de leurs contributions.

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Tous les écrits d’Archélaos ont été perdus et un seul fragment pourrait lui être crédité. Ce qu’on connait de lui provient plus tardivement d’auteurs tels que Sextus Empiricus (c. 160- c. 210 apr. J.-C.), Diogène Laërce (c. 180-240 apr. J.-C.), Hippolyte de Rome (c. 170- c. 235 apr. J.-C.), Pseudo-Plutarque (écrivain du c. IIIe-IVe siècle apr. J.-C.) et Simplicios de Cilicie (c. 490- c. 560 apr. J.-C.). Selon Diogène Laërce et Sextus Empiricus, Archélaos était plus qu’un simple « philosophe naturel » qui recherchait la cause des phénomènes observables, il enseignait également l’éthique. D’ailleurs, Laërce soutenait que Socrate n’avait pas inventé son système d’éthique, mais qu’il l’avait pris d’Archélaos. Cette idée fut contestée, cependant, comme une grande partie des travaux de Laërce, car il ne cite jamais ses sources et présente souvent des ouï-dire comme faits.

Voici ce que l'on sait de la vie et de la philosophie d’Archélaos : il étudia auprès d’Anaxagore (c. 500- c. 428 av. J.-C.), qui avait développé un concept d’un élément unique séparé en une multitude, mais Archélaos rejeta la thèse de son professeur d’un esprit universel mettant toute chose en mouvement, ou il est possible qu’il l’intégrât dans son système sous une forme différente. Il se peut qu’il ait également développé un système d’éthique, mais comme écrit ci-dessus, cela reste obscur. Bien qu’il soit reconnu comme le dernier des présocratiques, il est souvent omis des travaux sur le sujet, car on sait bien peu de choses sur lui, et ces détails viennent de sources bien ultérieures, généralement peu fiables.

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Les présocratiques et la Cause première

Aristote définit les philosophes présocratiques par leurs écoles de pensée, en commençant par l’école ionienne composée de penseurs qui vécurent et écrivirent en Ionie, sur la côte ouest d’Asie Mineure (la Turquie actuelle). Les philosophes ioniens étaient :

  • Thalès de Milet (c. 585 av. J.-C.)
  • Anaximandre (c. 610- c. 546 av. J.-C.)
  • Anaximène (c. 546 av. J.-C.)
  • Héraclite d’Éphèse (c. 500 av. J.-C.)
  • Anaxagore (c. 500- c. 428 av. J.-C.)
  • Archélaos (c. Ve siècle av. J.-C.)

Bien qu’il ne soit pas inclus dans la liste d’Aristote, Pythagore (c. 571- c. 497 av. J.-C.) était aussi un philosophe ionien de l’île avoisinante, Samos. Aristote distinguait ces penseurs de ceux de l’école éléatique (centralisée à Élée, dans le sud de l’Italie) dont les membres les plus connus sont :

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  • Paraménide (c. 485 av. J.-C.)
  • Zénon d’Élée (c. 465 av. J.-C.)
  • Mélissos de Samos (c. Ve siècle av. J.-C.)

Xénophane de Colophon (c. 570- c. 478 av. J.-C.) est également parfois considéré comme éléatique et, selon certaines sources, enseigna à Paraménide et fonda l’école éléatique. Empédocle (c. 484- c. 424 av. J.-C.), qui synthétisa les systèmes présocratiques de Thalès à Zénon, est considéré comme une catégorie à lui seul.

LE BUT PREMIER DE L’ÉCOLE IONIENNE ÉTAIT DE DÉFINIR LA CAUSE PREMIÈRE DE L’EXISTENCE.

Le but premier de l’école ionienne était de définir la cause première de l’existence. Pour Thalès, c’était l’eau — la source de toute vie, essentielle à toute création —, tandis qu’Anaximandre conçut l’apeiron, une force créatrice éternelle et immuable : source de tout ce qui est, elle maintenait ces éléments ensemble. Anaximène rapporta la cause première aux phénomènes observables et pensait que l’air était, par la raréfaction et la condensation, le principe de base de toute chose. Héraclite réfuta ces concepts et disait que le feu était le premier principe, et la lutte l’unique constante de la vie. La vie apparut à travers la lutte entre les opposés et continua grâce au changement produit par cette « lutte ». Le changement était la nature même de l’existence : pas seulement d’un aspect, mais de l’existence elle-même.

Pythagore s’opposa à tout cela et déclara que la cause première n’était autre que le nombre. Le nombre n’était pas une simple expression d’une quantité donnée, mais une représentation de la vérité et de la réalité. C’est-à-dire qu’il était infini, mais apportait une limite observable en différenciant un élément d’une multitude, indiquant de ce fait une évolution rationnelle à partir de laquelle « ce qui est » se manifestait. Xénophane se moqua de Pythagore et soutenait que toute chose venait d’un seul dieu tout-puissant différent des humains en tout point, qui avait créé l’univers et établit son ordre.

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Marble Head of a Philosopher
Tête de philosophe en marbre
Metropolitan Museum of Art (Copyright)

Toutes ces idées furent réfutées par Paraménide (bien que sa vision se rapproche le plus de celle de Xénophane), pour qui la réalité dans son entièreté était constituée d’une substance unique et indestructible. Cette substance était immobile, et n’avait pas été créée : elle avait toujours existé et existerait toujours. De plus, toute chose se mélangeant dans cette substance, toute chose était immobile de la même manière, et le changement n’était donc qu’une illusion produite par la perception des sens. Zénon d’Élée supporta les idées de Paraménide à travers une série de paradoxes logiques prouvant l’impossibilité du mouvement et du changement, et Mélissos de Samos y apporta (sans doute) des précisions.

Les théories de Paraménide entravèrent l’avancée philosophique de l’école ionienne, car tous les systèmes se basaient sur l’acceptation de la réalité du changement comme faisant partie de l’existence. Si le changement n’existait pas, aucun système de l’école ionienne ne pourrait fonctionner, mais d’un point de vue purement pratique, si le mouvement n’était vraiment qu’une illusion, il serait impossible d’expliquer un phénomène observable tel qu’une personne se rendant d’Athènes à Éleusis.

Empédocle tenta d’harmoniser les écoles ioniennes et éléatiques grâce à un système dans lequel l’existence était définie par quatre sources constantes : la terre, l’air, le feu et l’eau, liés par l’attraction de l’amour et séparés par l’opposition de la lutte. Il fut donc capable de joindre le modèle éléatique d’une réalité inchangeable à la vision ionienne du changement constant.

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Le système d’Anaxagore

On pense qu’Anaxagore répondit à Empédocle (même si certains disent que c’est l’inverse) au travers d’un système qui affirme que l’existence est unique, car composée de « semences » indestructibles, éternelles, qui ont fait partie un jour d’un tout unifié séparé par l’Intellect — une intelligence universelle qui amena la pluralité (les phénomènes observables) du tout (une masse homogène) Son principe fondamental est « toute chose possède une portion de toute chose » (DK59B.11/Robinson 177). Ces « semences » (aussi appelées « substances »), interchangeables, se présentaient ensemble sous une forme définie en fonction de la quantité dominante d’un type de « substance ». Par exemple, un chien est reconnu comme tel parce qu’il contient plus de « substance chien » que de « substance chat », et si plus de « substance chat » était présente dans la forme, elle serait perçue comme un chat.

Anaxagoras
Anaxagore
Eduard Lebiedzki (Public Domain)

Il était une fois, ces « substances » constituaient une masse unique avant que l’Intellect n’amène la différenciation. L’Intellect resta séparé de l’existence qu’il avait mise en mouvement et ne s’y mélangea pas, demeurant à l’écart une fois son but accompli. Anaxagore écrit :

Toute chose possède une portion de toute chose, mais l’Intellect est infini, il est son propre maître et est exempt de tout mélange.
Toutefois, il est isolé. Car s’il ne l’était pas, s’il était mélangé avec quoi que ce soit d’autre, il aurait, en raison de ce mélange, une portion de toute chose ; car toute chose possède une portion de toute chose, comme je l’ai dit auparavant. Ce qui se mélange à lui le freinerait, le rendant incapable de contrôler les choses comme il le fait maintenant en étant seul. Car il est la chose la plus pure et le pouvoir le plus puissant ; et il règne sur toutes les choses qui ont une âme, petites ou grandes.
(DK 59B.12/Robinson, 181)

Le problème de cette vision est qu’Anaxagore ne définit jamais l’Intellect, et il n’explique pas non plus la manière dont celui-ci « exerce son pouvoir » alors qu’il reste « exempt de tout mélange » et « séparé » de la création. On aurait pu suggérer qu’il avait développé ce concept de manière plus détaillée, mais que ces passages ont été perdus, si Platon et Aristote n’avaient pas tous les deux émis des objections à cela. Dans le Phédon de Platon, 97-98e, Socrate exprime être déçu qu’Anaxagore eût introduit ce concept intriguant d’un esprit universel sans jamais le développer.

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La philosophie d’Archélaos

Archélaos semble avoir tenté de résoudre ce problème en éliminant l’Intellect du système. Diogène Laërce fournit cette description du modèle d’existence d’Archélaos :

Archélaos énonça qu’il existait deux causes de croissance ou de naissance, le chaud et le froid; que les êtres vivants étaient créés à partir du limon terrestre ; et que le juste et l’injuste ne résultent pas de la nature, mais de la coutume. Sa théorie est comme suit : L’eau se fond par la chaleur et produit d’un côté la terre : par l’effet du feu, elle coule et se consolide tandis que, d’un autre côté, cela génère de l’air, qui se répand sur les côtés. La terre est donc limitée par l’air, et l’air est limité par le feu environnant. Les êtres vivants, selon lui, naissent de la terre lorsqu’elle est chauffée et sécrète du limon terrestre de la consistance du lait, qui sert d’aliment ; et c’est de cette manière que la terre donna naissance à l’homme. Il fut le premier à expliquer que le son est dû à la compression de l’air, et que la formation de la mer dans les endroits creux est due au fait qu’elle soit filtrée dans la terre. Il a déclaré que le Soleil était le plus grand corps céleste, et que l’univers était illimité. (IV.16-17)

Ce passage est approuvé en partie par Hippolyte :

À propos des animaux, [Archélaos] dit que lorsque la terre se réchauffa pour la première fois dans la partie la plus inférieure, là où le chaud et le froid se mélangeaient, beaucoup d’autres animaux apparurent, ainsi que l’être humain, et ils avaient tous le même régime étant donné que la boue les nourrissait tous. Mais ils ne vivaient pas longtemps. Plus tard, la génération des uns et des autres s’établit. (T5/Hippolytus I.9.5)

L’opération du chaud et du froid en opposition l’un avec l’autre causa la raréfaction et la condensation d’un élément primordial, produisant ainsi une boue laiteuse qui, après s’être consolidée par le froid, créa des formes sur lesquelles le chaud agit. Cela produisit des animaux et des humains qui se nourrirent de la substance laiteuse à partir de laquelle ils sont nés. Il semblerait, d’après le fragment d’Hippolyte, que les premiers moururent rapidement, mais, au fur et à mesure du processus, les créatures vécurent assez longtemps pour se reproduire et, ensuite, le processus observable de reproduction se perpétua.

BIEN QUE CERTAINS ÉRUDITS AIENT SUGGÉRÉ QU’ARCHÉLAOS CONSERVA L’INTELLECT UNIVERSEL D’ANAXAGORE, AUCUN FRAGMENT EXISTANT NE PEUT LE PROUVER.

Bien que certains érudits aient suggéré qu’Archélaos conserva l’intellect universel d’Anaxagore, aucun fragment existant ne peut le prouver, et aucun écrivain ultérieur ne semble le suggérer. Le seul fragment restant dont on pense Archélaos être l’auteur est « Le froid est un lien. » (Freeman, 86/fragment Ia). Il s’agirait d’une référence à l’action de refroidissement des opposés et à la solidification de la substance laiteuse pour créer la forme des animaux et des humains.

Donc, la philosophie d’Archélaos semblerait être purement mécaniste, dans le sens où les éléments en opposition génèrent de la vie sans autre pouvoir supérieur pour la diriger, ni de côté moral ou éthique. Ce point est toutefois contredit plus tard par d’autres passages d’auteurs qui maintiennent le fait qu’il enseignait un système éthique. Laërce écrit :

Archélaos, fils d’Apollodorus, ou de Midon selon d’autres, était un citoyen d’Athènes ou de Milet ; il étudia sous la tutelle d’Anaxagore, qui fut le premier à apporter la philosophie naturelle de l’Ionie à Athènes. Archélaos enseigna à Socrate. On le surnommait le « Physicien », étant donné que la philosophie naturelle prit fin avec lui, dès que Socrate introduit l’éthique. Il semblerait qu’Archélaos lui-même enseigna l’éthique, car il discutait des lois, de la bonté et de la justice ; Socrate prit son sujet et, après l’avoir amélioré au maximum, fut considéré comme l’inventeur du système. (IV.16)

Sextus Empiricus déclare qu’« Archélaos d’Athènes recherche les aspects physiques et éthiques » de la philosophie (T4/Empiricus M7.14), et Hippolyte note la manière dont Archélaos certifie que ce n’est qu’une fois les créatures humaines séparées des créatures animales qu’il y eut besoin de lois pour réglementer le comportement, que des chefs durent être choisis et que des communautés (villes) se formèrent, laissant entendre le besoin d’un code éthique visant à contrôler les pulsions du peuple. Dans son fragment, Hippolyte soutient l’affirmation de Laërce selon laquelle Archélaos disait que « rien n’est juste ou injuste que par l’effet de la coutume et non de la nature » (IV.16) dans le sens où les lois sont créées par les hommes, elles ne viennent pas du monde naturel ou d’une source divine.

Personne ne sait en quoi consistait l’éthique d’Archélaos et, même si d’autres auteurs partagent l’avis de Laërce sur le fait que Socrate étudia auprès d’Archélaos, c’est la seule source qui dit que Socrate lui « prit le sujet » de l’éthique et l’améliora. Cela semble peu probable dans la mesure où Archélaos déclara que les concepts de « justice » et « injustice » (« ce qui est juste ou injuste ») n’étaient que de simples constructions humaines, car Socrate s’opposa à cette théorie dans le livre I de La République de Platon. Le concept de « justice » en tant que construction humaine est associé aux sophistes tels que Thrasymaque (c. 459-c. 400 av. J.-C.), Critias (c. 460-403 av. J.-C.) et Gorgias (c. 427 av. J.-C.), pas à Socrate.

Socrates Bust, Vatican Museums
Buste de Socrate, Musées du Vatican
Mark Cartwright (CC BY-NC-SA)

Les avis selon lesquels Archélaos était le génie philosophe derrière le système d’éthique de Socrate ne sont pas soutenus par Platon, Xénophon ou Aristote. Cependant, il n’existe aucun moyen de savoir ce qu’ils ont pu omettre de leur discours, ou encore lequel des deux entre Socrate et Platon développa le système d’éthique, car Socrate n’a jamais rien écrit et la représentation la plus complète qui lui est attribuée vient de Platon.

Conclusion

Il semble que les systèmes et les théories de plusieurs penseurs présocratiques figurent dans la philosophie d’Archélaos, notamment l’apeiron d’Anaximandre et l’air d’Anaximène, mais son influence la plus directe est d’Anaxagore. Il est impossible de savoir, cependant, comment il a développé ces idées ou à quoi ressemblait son système complet. La difficulté à interpréter les dires des philosophes présocratiques vient du manque de travaux complets ou, dans le cas de Pythagore, de l’inexistence d’écrit qui lui est attribué, ce qui nécessite de se baser sur des fragments cités par d’autres philosophes après Philolaos. Le problème devient évident lorsqu’on tente de reconstruire la philosophie d’Archélaos, plus qu’avec ses prédécesseurs, car même Anaximandre, qui a lui aussi un seul fragment qui lui est attribué, fut l’objet de discussions plus en détail par la suite dans les travaux d’autres philosophes.

Les meilleurs termes qu’on peut utiliser pour décrire Archélaos et sa philosophie sont spéculatifs : bien qu’Hippolyte, Laërce ou d’autres encore aient abordé le sujet, ils vivaient à une époque éloignée de celle d’Archélaos et ils répétaient les dires de sources qui n’existent plus, et dont il est par conséquent impossible d’en juger l’exactitude. Il semblerait que, si Archélaos avait vraiment suggéré un système éthique à Socrate, pour ne citer qu’un seul exemple, des auteurs plus proches de cette période auraient écrit à ce propos, même s’il faut reconnaître que Platon aurait préféré décourager quoi que ce soit qui pouvait diminuer la vision unique de Socrate.

En même temps, il est possible qu’Archélaos ait en effet suggéré un système à Socrate, ou qu’il développât de manière plus complète les théories d’Anaxagore. On peut toujours spéculer sur les possibilités des influences historiques lorsqu’elles sont peu nombreuses ou qu’il n’existe aucune source pour soutenir ou contredire les idées de quelqu’un. L’évaluation la plus correcte de l’influence d’Archélaos sur Socrate et la philosophie après est qu’il est tout simplement impossible de l’établir au travers de sources existantes, et toute opinion le concernant doit rester largement spéculative, malgré les efforts d’érudits modernes à prouver le contraire.

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Traducteur

Camille Pické
Camille Pické est une traductrice de l'anglais et du japonais vers le français dont les maîtres-mots sont la curiosité et le partage des connaissances.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2022, avril 13). Archélaos (philosophe) [Archelaus (Philosopher)]. (C. Pické, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-20440/archelaos-philosophe/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Archélaos (philosophe)." Traduit par Camille Pické. World History Encyclopedia. modifié le avril 13, 2022. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-20440/archelaos-philosophe/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Archélaos (philosophe)." Traduit par Camille Pické. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 13 avril 2022. Web. 19 mai 2024.

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